DES AMOURES CHIENNES AUX AMOUR-LICHEN
“Truss”, du français charpente.
Montrer à voir l’envers du décors.
Le cœur de la scène.
Montrer ce que le public ne “doit” pas voir, les coulisses, la machinerie, le grill.
Un grand mikado de truss, une structure/sculpture de pont métallique, une installation de guindes de commande, un grand ballet de mouvements technique et une performance acrobatique et dansée.
Ici la technique et le mouvement ne font qu'un.
Un spectacle qui mêlera danse, manipulation techniquo/scénographique, rigging à vue, suspension et marionnette sur truss
Une ode au travail de l’ombre, à la technique, aux coulisses.
Une ode à l'interdépendance entre technique, objet et mouvement
Une ode aussi à l'interdépendance et à la justice sociale.
